92 % des citoyens ont foi dans la démocratie, mais 25 % d’entre eux estiment qu’elle fonctionne mal (Source : IWEPS).

Une piste : intégrer la participation citoyenne au processus délibératif.

Avantage : plus de transparence, gestion ouverte évitant les conflits d’intérêts, rappel de l’intérêt général,  la démocratie vécue de l’intérieur.

La participation n’est pas un espace de décision politique, mais une étape d’inspiration, d’orientation commune.

Gérer autrement

1. Création d’un Echevinat de la Participation, doté d’un agent formé à la participation. et création de Commissions communales thématiques selon les possibilités et les sujets concrets.

2. Budget participatif.

> Mise en œuvre d’un premier budget participatif: certaines actions peuvent être décidées en commun, par un groupement citoyen ou de village. Par exemple, les infrastructures de limitation de vitesse dans certaines rues.

3. Maison des Associations.

> Dédier un local communal aux Associations (« Maison/Local  des Associations »), sans distinction.

4. Transparence.

> Assurer une totale transparence des projets urbanistiques : publications, affichage, annonces de réunions, conseils communaux, etc.

5. Conseils communaux mieux suivis.

> Publication attrayante des conseils communaux, diffusion régulière de ceux-ci, remise en place de la diffusion (en ligne + vidéos disponible via Youtube),  explications, élargissement des conditions d’interpellation aux matières hors compétences communales.

6. Bulletin communal : au service des citoyens. 

> Création d’un comité (neutre) de lecture du bulletin communal, dans le respect de la liberté d’expression et du Règlement communal. Augmentation de la part réservée aux citoyens et aux associations.

7. Transparence : montrer l’exemple.

> Les pouvoirs publics sont au service du public, pas des partis politiques. Rapprocher le citoyen de la gestion publique de sa commune nécessite ambition et volontarisme : montrer l’exemple, expliquer les décisions, les diffuser.